Arrivée de Torhu

Torhu arriva à l'entrée du domaine du clan du Komagai, elle était un peu impressionnée devant la grandeur du domaine mais elle ne laissa rien paraitre...
Elle chercha des yeux Onoho san. Elle lui avait donné rendez vous devant l'entrée. Elle espera ne pas etre en retard.

La jeune fille était pressée. Elle trottinait sur l'allée bordé de cerisier qui menait à l'entrée. Elle était déjà sortit en hate de la Pagode, lieu où elle avait prit l'habitude de révasser bêtement, et avait manqué tomber en loupant une marche.
Décidement elle perdait ses bonnes habitudes...Bref !
Onoho arriva donc dans l'entrée et sortit pour trouver la jeune Torhu-san.
Elle l'aperçu et lui fit un signe.

Je suis là, Torhu-san ! Vous ne m'avez pas trop attendu, j'espère ?
Gomen nasai. J'ai fais le chemin le plus rapidement possible.

Elle regarda à gauche et vit Toriko qui était en train de...de se gratter...quelque part...Ahem !

Mmmh...Je vous présente Toriko. Le garde du Clan.
Elle continua, en chuchotant cette fois : Il est assez impressionant, il faut avouer. Nous le surnomons parfois le Panda...

Elle fit à Torhu un sourire complice et l'invita à entrer dans le Domaine.

Torhu entendit qu'une personne l'appelait. Elle se retourna et vit Ohono-san.
Elle sourit de la voir et lui fit un signe de la main.

Ohono-san, ravie de vous revoir. Ne vous inquietez pas je viens d'arriver.
Ohono-san lui presenta Toriko, il paraissait impressionant. Elle s'inclina.

Enchantée de faire votre connaissance.

Ohono lui murmurra quelque chose sur Toriko, elle ne put sourire...

Puis elle la suivit et entra dans le domaine du clan et vit allée de cerisier. C'etait magnifique.

Ce lieu est magnifique, tout semble calme.

Elle souriait en pensant qu'elle avait pris une bonne décision en acceptant l'invitation. Elle avait deja envi de peindre.

Onoho soupira de soulagement. Elle ne l'attendait donc pas depuis longtemps.
Elle sourit en voyant Torhu aborder ainsi le géant Toriko.

"Ce lieu est magnifique, tout semble calme"

Hai ! N'est ce pas ? Et encore, j'attend avec impatience le printemps, lorsque les cerisiers seront en fleurs.

Elle sourit, menant la jeune fille le long du chemin.